À 41 ans, Ali Abbasi est un jeune cinéaste qui compte. Courtisé par Hollywood après avoir été remarqué en 2018 avec Border (cf. ci-dessous), le Danois le sait. Et il est plutôt sûr de son indéniable talent… Face aux journalistes internationaux à Cannes, en mai dernier, il n'hésitait pas à se lancer des fleurs à propos d'Holy Spider, son premier film à aborder la société iranienne, très applaudi la vieille en Compétition… Même si, vu la vision qu'il donne de l'Iran, le cinéaste craint de ne plus être le bienvenu dans son pays d'origine... Читать дальше...