« Plus haut que les flammes » | L’amour entre grands-mères et petits-enfants
Le film « Plus haut que les flammes » évoque l’idée de porter nos enfants le plus haut possible, pour qu’ils s’épanouissent. Ce long métrage de la cinéaste canadienne Monique LeBlanc est un hommage à l’amour entre enfants et leurs grands-mères qui s’occupent d’eux.
Présenté cette semaine dans le cadre du Festival international de la littérature de Montréal, ce film hybride qui va du documentaire à la poésie en images, est une adaptation cinématographique du recueil de poésie du même nom de la poète québécoise Louise Dupré.
RCI a parlé à Monique LeBlanc, cinéaste originaire de l’Acadie dans l’est du Canada. Dans l’entretien elle partage, entre autres, le regard qu’elle porte sur cette génération d’enfants et de grands-parents, en Acadie, au Canada et dans les pays qu’elle a visités pour réaliser son film : le Nicaragua, l’Ukraine, la Louisiane aux États-Unis, la Pologne où elle a visité notamment le camp de concentration d’Auschwitz.
Le recueil de poésie de Louise Dupré « Plus haut que les flammes » a été lauréat du prestigieux Prix du Gouverneur général du Canada en 2011. Dans le film de Monique LeBlanc, les poèmes sont récités hors champ par la comédienne Violette Chauveau. « Plus haut que les flammes » a été produit par Christine Aubé et Jac Gautreau de l’Office national du film du Canada.
