Actualités du Parc Phoenix
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« Le monde hivernal » de Jean-David Murrau
2 – 27 mars 2018
Vernissage > Samedi 3 mars 2018 à 11 heures – Salle Prairial
Le monde hivernal est une exposition photographique et vidéo de Jean-David Murrau. Reporter photographe passionné par le Grand Nord, il voyage et étudie le sujet depuis plusieurs années. Tout juste de retour d’expédition autour du Cercle Polaire Arctique, il nous convie à un fabuleux voyage.
Le photographe tente d’attirer notre attention sur les menaces qui pèsent sur cet écrin blanc. Le Pôle Nord est sous la menace directe du réchauffement climatique et des prospections minières de son sous-sol.
Jean-David Murrau, par la beauté de ses photos, couchers de soleil, aurores boréales et faune sauvage vient témoigner d’un univers féérique à préserver.
« Du ciel en toit » de Marc Aubé
3 mars – 1er mai 2018
Vernissage > Samedi 3 mars à 11 heures – Salle Prairial
Marc Aubé s’est toujours passionné pour la photographie, après des études de philosophie, il suit sa voie. Un de ses professeurs lui avait prédit : « Si tu ne vas pas à la photo, c’est la photo qui viendra à toi ». A la manière d’un équilibriste, il compose dans les airs de véritables vitraux photographiques. La lumière diffuse alors comme un poème unique.
« Tête en l’air, nez au vent, s’inventent les formes et les couleurs. D’un pas curieux, un peu ici, un peu ailleurs, se dessinent des entrelacs et des lumières. Alors, tiré d’un rêve fameux, je rapporte chanceux un bout de cette lueur. »
« Faces-à-Faces » d’Agnès Jennepin
8 mars – 22 avril 2018
Vernissage > Samedi 10 mars 2018 à 11 heures – Salle Cassini
A l’occasion de cet accrochage inédit, le visiteur est confronté à la force des regards de portraits féminins dans un troublant Faces-à-Faces, mettant en scène deux séries :
« Double Face » : l’artiste évoque, par sa recherche sur la lumière et la transparence, la dualité de l’être, ce qui est montré et ce qui est tu. Le papier Wenzhou, fin et poreux laisse apparaître le verso des personnages, rendus plus intimes, présences désincarnées.
« Portraits Bulle » : après un travail de reproduction, lent et précis de toiles de Grands Maîtres à forte charge émotionnelle, l’artiste soumet sa peinture au geste paradoxal de l’effacement. Ultime, rapide, dans un mouvement circulaire à l’inverse des aiguilles d’une montre, comme pour remonter le temps, il forme une bulle écran qui projette pourtant le regardeur au plus près.
L’artiste donne à voir la limite entre apparition et disparition, ce moment de suspension juste avant de sortir de la ligne de visibilité.
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