Des chants bulgares s’élèvent dans la nuit nantaise. Un rideau de couleurs chatoyantes habille la façade de la cathédrale. Et l’émotion monte, irrépressible. On y est, là-bas, dans un paysage enneigé de Russie, d’un pays slave, en tout cas. Loin de la lourde ambiance sociale du moment, de la...