Le chef de file de l’opposition a été condamné le 13 mars 2017 à un an de prison ferme pour recel d’enfants notamment. Impossible d’effacer cette condamnation du casier judiciaire de Hama Amadou, écrit le président de la Cour d’appel de Niamey dans une lettre. L’avocat de Hama Amadou rejette ses arguments et craint une manœuvre pour empêcher son client de se porter candidat à la présidentielle.