La mort du prince Khalifa, inamovible Premier ministre et homme à poigne de la petite monarchie du Golfe, pourrait donner des espoirs de libéralisation politique. D’autant que son successeur Salman Al Khalifa passe pour être plus souple. Mais les luttes de clans au sein de la famille régnante ne sont pas finies, craint un site bahreïni d’opposition.