« Cette curieuse ville que j’aime et que j’accepte sans contrôle » : Pierre Mac Orlan aimait Brest (Finistère). D’un amour si profond et sincère qu’il lui consacre, en 1926, une monographie écrite à la première personne, simplement intitulée Brest.« Il ne pleut pas toujours à Brest »« Il ne pleut...