Après le lancement hier de la production d'uranium enrichi à 20%, la saisie aujourd'hui d'un pétrolier battant pavillon sud-coréen dans le détroit d'Ormuz (par lequel transite un cinquième de la production mondiale de pétrole) donne du poids à la thèse américaine selon laquelle l'Iran engage un nouveau bras de fer avec la communauté internationale pour desserrer l'étau des sanctions. Mais Séoul cherche aussi à récupérer 7 milliards de dollars de fonds bloqués en Corée du Sud.