Comme l’explique Manuel Tunon de Lara, président de la Conférence des présidents d’université, seuls peuvent être accueillis pour l’instant, par groupe de dix, des étudiants de première année guettés par le décrochage. La reprise des cours attendra, déplore-t-il, pour l’immense majorité des étudiants, même si beaucoup « vont mal » psychiquement.