Dans une interview, Édouard Balladur annonce qu’il ne faut attendre
“aucune repentance” de sa part sur le rôle de la France durant le génocide au Rwanda, en 1994. Cette déclaration du Premier ministre de l’époque survient alors que les débats sont vifs après la remise du rapport Duclert, qui n’est pas pour flatter son auteur, estime cet éditorialiste burkinabé.