Des Rencontres Cinéma Nature en ligne
L'assemblée générale de « Cistudes et cie » s'est déroulée de manière un peu particulière cette année. C'est, en effet, en visio et avec une vingtaine de participants qu'elle a eu lieu dernièrement.
L'équipe ainsi que plusieurs bénévoles ont fait le point sur une année 2020 tout aussi particulière, qui a débuté par l'annulation des Rencontres Cinéma Nature (RCN) : « On avait énormément travaillé en amont et tout était prêt. Mais le confinement en a décidé autrement et on a dû annuler » explique Frédérique Voldoire, coordinatrice de l'association.
L'association a quand même eu la chance de pouvoir réaliser plusieurs manifestations cet été : une soirée tango en extérieur, un concert, une résidence Le Caquetoire a pu de nouveau accueillir quelques visiteurs pendant plusieurs semaines, tout en respectant une jauge et les gestes barrière bien entendu, a détaillé Béatrice Presles d'Herbes, co-présidente de l'association avec Philippe Frémont.
Pour 2021, les membres de l'association ont pu, cette fois-ci, anticiper un peu les événements et choisi de faire une édition des RCN en ligne : « On a mis 17 films en ligne que les gens peuvent voir sur notre site et pour lesquels ils peuvent ensuite voter (voir notre édition de vendredi). Plusieurs de ces films devaient être projetés l'an passé, on a rajouté quelques films notamment traitant du confinement. On a déjà eu plus d'une centaine de votes », détaille Frédérique.
L'association voudrait réaliser des séances en salle et des événements liées au festival au cours de l'année.
Des séances, des rencontres, des expositions« En fonction de l'évolution de l'épidémie et des mesures restrictives, on espère organiser quelques séances et accueillir quelques réalisateurs, d'ici le mois de novembre. Même chose pour les animations, concerts, ou expositions. On va essayer de les faire en extérieur, pourquoi pas cet été ? On est également en contact avec les street artistes Loraine Motti, Sonac et Parvati, afin de voir quand elles pourraient venir présenter leur travail », conclut Frédérique Voldoire.