N’allez surtout pas comparer le père Matthieu Bobin à Saint-Augustin. Il balaiera d’un revers de main ce compliment. Pourtant, comme l’évêque d’Hippone, seul l’amour l’anime. L’amour de Dieu, bien sûr. Mais aussi l’amour des autres. C’est de cette manière qu’il a commencé son aventure littéraire avec Magarcane. Une fiction médiévale dans laquelle on retrouve Farëanor, paysan ay...