Quelque 600 civils sont morts au mois d’avril au Nigeria. L’inaction du président Muhammadu Buhari est critiquée par le Prix Nobel de littérature Wole Soyinka, mais aussi dans les rangs de son propre parti : le 26 avril, le sénateur Smart Adeyemi a conclu un discours au Parlement nigérian en larmes et n’a pas hésité à tenir Buhari pour responsable. Un désaveu cinglant, raconte la presse.