Avec la crise sanitaire, le masque buccal s’est imposé dans notre quotidien. Obligatoire dans les transports en commun, à la pharmacie ou encore au supermarché, ce bout de tissu nous accompagne désormais dans chacun de nos déplacements. Si nous nous y sommes accoutumés, le port du masque reste pour certains insupportable. Non pas à cause des quelques gênes qu’il peut générer, mais parce que celui-ci est bien trop difficile à porter. C’est le cas pour certaines personnes handicapées, mais aussi pour celles qui ont connu un traumatisme par le passé, à l’instar de Wivine. La trentenaire, originaire de Bruxelles, aimerait faire entendre sa voix. “Non, ce n’est pas forcément par défiance ou par confort personnel.”