«Techniciens de laboratoire en grève, pas de bla bla, on veut la catégorie A». Derrière leur banderole, devant l’accueil du centre hospitalier Béthune-Beuvry, les laborantins affichent leur colère. Et c’est rare, que l’on remarque ces professionnels de santé, souvent invisibles. « On est au sous-sol… bien cachés! Un peu comme des rats de laboratoire », sourient-ils. Mais ce ...