Lors d’un déplacement express en Nouvelle-Calédonie, jeudi 23 mai, le président de la République a promis de ne pas « passer en force » sur la réforme du corps électoral. Emmanuel Macron a demandé aux chefs des partis loyalistes et indépendantistes de négocier un « accord global » et fera un point d’étape « d’ici un mois ».