Dans sa chronique du mardi 11 juin, Éliette Abécassis nous parle de son amour des fleurs, de leur beauté, de leur diversité, mais aussi d’un fleuriste philosophe, de la floraison et du déclin, qui font des fleurs « l’incarnation du temps qui passe », et de la « finitude, dans tout ce qu’elle a de sublime et de pathétique ».