Les législatives françaises des 30 juin et 7 juillet se rapprochent, et la perspective d'une cohabitation reste une hypothèse sérieuse. Les précédentes ont débouché sur des représentations à deux têtes, « bicéphales », dans le concert des nations, car le président tient parfois à son « domaine réservé », tandis que d'autres le conçoivent comme étant « partagé ». La pratique a apporté un relatif équilibre, la théorie ne disant pas tout.