Cette décision a été prise samedi 22 juin par un juge des libertés et de la détention. Il était appelé à se prononcer sur le sort de Christian Tein et dix autres dirigeants du collectif considéré par les autorités comme étant à l’origine des émeutes de Nouvelle-Calédonie à partir de la mi-mai. Leurs avocats se disent «abasourdis».