Dans la deuxième circonscription de l'Allier, Nicolas Rousseaux veut mettre fin à "quarante ans d’immigration sans limite"
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Montluçonnais de 47 ans, Nicolas Rousseaux se présente à ces législatives anticipées dans la 2e circonscription de l'Allier pour mettre fin à "quarante ans d’immigration sans limite".
Candidat inattendu de ces législatives dans la 2e circonscription, Nicolas Rousseaux se revendique du Rassemblement national, parti qui compte pourtant déjà un candidat investi en la personne du député sortant. "J’ai choisi de faire bénéficier le financement de mes voix au RN", explique-t-il.
Pourquoi ce "rattachement" à la formation de Marine Le Pen ? "Nous avons des idées et une vision en commun sur le constat et les préconisations", développe l’intéressé.
Insécurité"Mais les électeurs méritent mieux que les candidats de Gaza ou Gannat", lance le chef d’entreprise de 47 ans. Une formule visant à renvoyer dos à dos les deux finalistes des précédentes élections : Louise Héritier (LFI) d’un côté, et Jorys Bovet de l’autre, que le Montluçonnais estime éloigné de par son lieu d’habitation et son engagement sur le terrain.
Législatives : qui sont vos candidats dans l'Allier
Engagé de longue date politiquement, déjà en lice à des législatives partielles en 2018 dans le Loiret (0,43 % des suffrages), Nicolas Rousseaux se dit déçu du bilan du député sortant. Renvoyant la critique formulée à son encontre de "candidat inconnu" : "Jorys Bovet n’était pas plus connu en 2022, la décrédibilisation n’est pas un argument".
Pour essayer de créer la surprise à son niveau, le quadragénaire s’engage en vue de ce premier tour avec Marie-Hélène Seguin comme suppléante. Une autre inconnue du grand public, mais au sujet de laquelle le candidat explique ne pas souhaiter en dire davantage.
Au-delà de ces questions de personnes, ce père de famille veut lutter contre "quarante ans d’immigration sans limite", tirant le constat d’une "importation de la misère". Celle-ci se traduit au quotidien par trois formes d’insécurité, analyse-t-il : : "patrimoniale", en matière d’"intégrité physique" et "sanitaire".
Julien Pépinot