Au 1er juillet, la Belgique cesse d'assurer la présidence tournante du Conseil de l’Union européenne, passant la main à la Hongrie, qui en sera la présidente pour un semestre. Cette présidence inquiète les milieux européens étant donné les relations pour le moins difficiles entre Bruxelles et les autorités de Budapest. Mais la marge de manœuvre du Premier ministre hongrois Viktor Orban sera limitée, même si le dirigeant hongrois s’est fixé comme objectif « de changer l’UE de l’intérieur ».