Embourbé dans une crise financière depuis près de trois ans, Atos avait enclenché en février une procédure de restructuration. Alors que l'offre du Français, Onepoint, avait été retenue, ce dernier a finalement annoncé la retirer quatre jours plus tôt. Les créanciers obligataires et les banques d'Atos entendent donc reprendre le groupe.