Face au constat qu'il manque au Nouveau Front Populaire une vraie doctrine de gauche sur les sujets numériques, le plus jeune sénateur de France détaille dans un manifeste sa vision d'une « French Tech populaire », tournée vers l'impact social et environnemental. Pour réussir à gouverner, il préconise un « front républicain numérique », qui permettrait au futur ministre de trouver des « majorités de projets » sur des sujets consensuels, tels que la souveraineté numérique, la cybersécurité ou encore le durcissement des obligations des big tech.