Un collectif de proches des victimes du récent massacre de Barsalogho, dans le centre du Burkina Faso, accuse l'armée d'avoir forcé les habitants à sortir de la ville, les exposant à une attaque d'un groupe jihadiste affilié à Al-Qaïda qui a fait plusieurs dizaines de morts. Décryptage avec Niagalé Bagayoko, politologue et présidente de l’African Security Sector Network (ASSN).