Le gouvernement néerlandais avait promis la “politique d’asile la plus ferme jamais mise en place”. Il a marqué une première étape en demandant formellement un “opt-out” à Bruxelles, ce 18 septembre. Symboliquement forte, la démarche a peu de chances d’aboutir et risquerait de toute façon d’être contre-productive, prévient la presse.