Les réactions se multiplient suite à la mort du chef du Hamas, Yahya Sinwar, tué jeudi 17 octobre lors d'une opération de l'armée israélienne à Gaza. Certains dirigeants occidentaux ont estimé que sa mort offrait l'opportunité de mettre fin au conflit, mais Benyamin Netanyahu a prévenu que la guerre n'était pas finie. Le Hezbollah libanais a de son côté annoncé qu'il ouvrait une nouvelle phase d'escalade dans sa confrontation avec Israël alors que l'Iran estime que cette mort va renforcer «l'esprit de résistance».