Près de 80 ans après les faits, la France a reconnu jeudi 28 novembre le massacre survenu le 1er décembre 1944 au camp militaire de Thiaroye. Salué par le président sénégalais Bassirou Diomaye Faye, cet acte suscite néanmoins des réserves auprès du comité chargé de lever les zones d’ombre autour de ce crime colonial.