Le prochain retour au pouvoir aux États-Unis de Donald Trump et la promulgation, pendant quelques heures, le mardi 3 décembre, de la loi martiale par le président sud-coréen, Yoon Suk-yeol, qui est désormais menacé de destitution, risquent de chambouler l’alliance entre Séoul, Tokyo et Washington, s’inquiète la presse japonaise.