Université: Les étudiants de Ziguinchor pointent les incohérences du Dr Abdourahmane Diouf
Les étudiants de l’Université Assane Seck de Ziguinchor ne se reconnaissent pas dans les propos du ministre de l’Enseignement supérieur tenus le vendredi à St-Louis. La Coordination des Étudiants de l’Université Assane Seck de Ziguinchor (CE-UASZ) parle « d’incohérences du ministre Dr Abdourahmane Diouf entre les récentes déclarations du ministre et les engagements pris par ce dernier lors de plusieurs événements par le passé ».
D'après LeTémoin, la coordination rappelle que « le ministre avait promis des mesures concrètes lors de l’atelier sur la stabilisation du calendrier universitaire du 31 mai au 2 juin 2024, lors de sa visite officielle à l’UASZ le 7 juin 2024, ainsi que lors de la rencontre à la sphère ministérielle de Diamniadio le 26 septembre 2024. Les promesses faites à ces occasions, que nous avons scrupuleusement notées, sont aujourd’hui contredites par les déclarations du ministre ».
La CE-UASZ fustige ce manque de cohérence et de respect envers la communauté universitaire, soulignant que les étudiants continuent de souffrir des conséquences de cette gestion jugée défaillante. «Les questions urgentes et vitales ne se négocient pas : elles appellent des réponses immédiates et concrètes», a insisté la coordination. Les étudiants de l’UASZ exigent une action rapide sur plusieurs points cruciaux à savoir : La livraison immédiate de la zone de production pour l’extension de Diabir. Le redémarrage des installations de PGF-SUP. Le démarrage des travaux des équipements du pavillon 1000 lits. La réalisation urgente des réfections et réhabilitations nécessaires pour assurer un cadre d’apprentissage digne. «Sans satisfaction immédiate de ces points, nous ne reprendrons pas les cours», a averti la CE-UASZ. Cette dernière appelle l’implication du président Diomaye Faye et du Premier ministre Sonko.
D'après LeTémoin, la coordination rappelle que « le ministre avait promis des mesures concrètes lors de l’atelier sur la stabilisation du calendrier universitaire du 31 mai au 2 juin 2024, lors de sa visite officielle à l’UASZ le 7 juin 2024, ainsi que lors de la rencontre à la sphère ministérielle de Diamniadio le 26 septembre 2024. Les promesses faites à ces occasions, que nous avons scrupuleusement notées, sont aujourd’hui contredites par les déclarations du ministre ».
La CE-UASZ fustige ce manque de cohérence et de respect envers la communauté universitaire, soulignant que les étudiants continuent de souffrir des conséquences de cette gestion jugée défaillante. «Les questions urgentes et vitales ne se négocient pas : elles appellent des réponses immédiates et concrètes», a insisté la coordination. Les étudiants de l’UASZ exigent une action rapide sur plusieurs points cruciaux à savoir : La livraison immédiate de la zone de production pour l’extension de Diabir. Le redémarrage des installations de PGF-SUP. Le démarrage des travaux des équipements du pavillon 1000 lits. La réalisation urgente des réfections et réhabilitations nécessaires pour assurer un cadre d’apprentissage digne. «Sans satisfaction immédiate de ces points, nous ne reprendrons pas les cours», a averti la CE-UASZ. Cette dernière appelle l’implication du président Diomaye Faye et du Premier ministre Sonko.