Décès du détenu Bassirou Diop : ADHA appelle à une enquête approfondie et des mesures immédiates
En cette douloureuse circonstance, ADHA rappelle avec insistance que l’article 7 de la Constitution sénégalaise garantit la sacralité de la personne humaine et le droit à la vie. Ce principe fondamental est également consacré par les engagements internationaux du Sénégal, notamment la Charte africaine des droits de l’Homme et des peuples et le Pacte international relatif aux droits civils et politiques, auxquels notre pays est partie.
« Aucune circonstance ne saurait justifier qu’un individu, même placé en détention, soit privé de son droit à la vie ou exposé à des conditions de traitement indignes. » Martèle ADHA qui salue la diligence avec laquelle les autorités judiciaires ont ordonné une autopsie pour faire la lumière sur les circonstances du décès de Monsieur Diop.
Toutefois, cette étape ne doit être qu’un premier pas vers l’établissement de la vérité.
ADHA exhorte les autorités compétentes à :
1. Mener une enquête indépendante, impartiale et transparente sur les causes exactes de ce décès, afin d’informer l’opinion publique et de rendre justice à la famille du défunt.
2. Engager, en cas de responsabilité avérée, des poursuites contre les auteurs présumés de tout acte ayant conduit ou contribué à cette tragédie, conformément à la loi.
Ce drame met également en lumière la nécessité impérieuse d’améliorer les conditions de détention au Sénégal.
ADHA appelle les autorités à entreprendre des réformes structurelles visant à garantir :
Des conditions sanitaires et hygiéniques adéquates dans les lieux de détention, conformément aux normes internationales ;
Un accès effectif aux soins médicaux pour tous les détenus, en particulier pour ceux dont l’état de santé nécessite une prise en charge urgente ;
Le respect des droits fondamentaux des détenus, qui demeurent des citoyens à part entière.
L’ONG réaffirme son engagement ferme en faveur du respect des droits fondamentaux de chaque citoyen sénégalais, y compris ceux en situation de détention. Nous restons convaincus que le respect de la dignité humaine et des droits universels constitue le socle d’un État de droit.
« Nous appelons l’ensemble des parties prenantes – autorités publiques, société civile et partenaires internationaux – à redoubler d’efforts pour prévenir toute forme de violation des droits humains au Sénégal. » Conclut le Bureau exécutif de l’Action pour les Droits Humains et l’Amitié (ADHA)
« Aucune circonstance ne saurait justifier qu’un individu, même placé en détention, soit privé de son droit à la vie ou exposé à des conditions de traitement indignes. » Martèle ADHA qui salue la diligence avec laquelle les autorités judiciaires ont ordonné une autopsie pour faire la lumière sur les circonstances du décès de Monsieur Diop.
Toutefois, cette étape ne doit être qu’un premier pas vers l’établissement de la vérité.
ADHA exhorte les autorités compétentes à :
1. Mener une enquête indépendante, impartiale et transparente sur les causes exactes de ce décès, afin d’informer l’opinion publique et de rendre justice à la famille du défunt.
2. Engager, en cas de responsabilité avérée, des poursuites contre les auteurs présumés de tout acte ayant conduit ou contribué à cette tragédie, conformément à la loi.
Ce drame met également en lumière la nécessité impérieuse d’améliorer les conditions de détention au Sénégal.
ADHA appelle les autorités à entreprendre des réformes structurelles visant à garantir :
Des conditions sanitaires et hygiéniques adéquates dans les lieux de détention, conformément aux normes internationales ;
Un accès effectif aux soins médicaux pour tous les détenus, en particulier pour ceux dont l’état de santé nécessite une prise en charge urgente ;
Le respect des droits fondamentaux des détenus, qui demeurent des citoyens à part entière.
L’ONG réaffirme son engagement ferme en faveur du respect des droits fondamentaux de chaque citoyen sénégalais, y compris ceux en situation de détention. Nous restons convaincus que le respect de la dignité humaine et des droits universels constitue le socle d’un État de droit.
« Nous appelons l’ensemble des parties prenantes – autorités publiques, société civile et partenaires internationaux – à redoubler d’efforts pour prévenir toute forme de violation des droits humains au Sénégal. » Conclut le Bureau exécutif de l’Action pour les Droits Humains et l’Amitié (ADHA)