Outre la grève amorcée sur les sites des chimistes Vencorex et désormais d'Arkema, en Isère, suite aux impacts que font peser le placement en redressement judiciaire du premier, un nouvel effet domino commence à se faire ressentir. Les syndicats ont fermé fin octobre une vanne d'approvisionnement en éthylène, également gérée par Vencorex pour le compte du britannique Ineos, qui fait désormais monter la pression chez plusieurs industriels au sein de l'Hexagone.