Le terroriste qui a décapité le professeur était en lien avec le groupe islamiste Hayat Tahrir al-Cham (HTC), l’une des factions qui vient de faire tomber Bachar al-Assad en Syrie. A l’audience, la mention de HTC survient alors qu’un accusé offre un discours convaincant sur les ravages de la radicalisation, dont il est sorti.