Le nouveau Premier ministre syrien Mohammad al-Bachir a multiplié les messages rassurants et promet que les droits de toutes les confessions seront garantis et appelle les Syriens de l'étranger à rentrer pour reconstruire le pays. Dans la capitale Damas, la vie a repris son cours, les commerces sont ouverts. Mais dans la région de la Ghouta, très meurtrie par des batailles sanglantes de 2012 à 2018 et visée par des armes chimiques, c'est comme si la guerre n'était pas terminée.