Ce sont des récits indicibles que racontent les détenus tout juste libérés, profondément traumatisés par leur séjour effroyable dans les geôles de l’ancien régime. Regards hagards, corps frêles, difficultés d’élocution, ces rescapés incarnent toute l’horreur et la cruauté d’un pouvoir qui les a déshumanisés, déplorent plusieurs médias qui se sont rendus sur place.