Dès la courte déclaration de loi martiale le 3 décembre dernier, le chef du Parti démocrate Lee Jae-myung mène la réponse de l’opposition face à la tentative de coup de force du président. Cette figure controversée de la scène politique sud-coréenne est le grandissime favori d’une présidentielle anticipée, mais il pourrait être rattrapé par ses ennuis judiciaires.
