En Corée du Sud, il ne reste que deux jours avant que le mandat d’arrêt délivré contre le président Yoon Suk-yeol n’expire. Une première tentative d’arrestation a échoué. La garde présidentielle semble décider à protéger le chef d’État pourtant suspendu. Le président par intérim, lui, reste silencieux sur le sujet.