Le Rassemblement national (RN) a obtenu en début de semaine la présidence du groupe d’amitié France-Maroc à l’Assemblée nationale. Une « prise de guerre » remportée de haute lutte par le parti de Marine Le Pen, à l’issue de longues semaines de négociations très heurtées avec les autres formations politiques. Vu du Maroc, il s'agit plutôt une bonne nouvelle.