Le juge des référés de Châlons-en-Champagne a cassé une décision du préfet de l’Aube, estimant notamment que le régime applicable à la détention des animaux non domestiques n’exige «à aucun moment que ceux-ci soient nés et élevés en captivité». L’Etat a un mois pour réexaminer la demande de régularisation formulée par sa propriétaire.