La loi de 2016 qui pénalise les clients de travailleuses du sexe est accusée d’avoir chassé la prostitution de la rue et de l’avoir reléguée derrière des portes closes, hors d’atteinte de l’État. Pour ses partisans, ce texte reste une avancée majeure. Mais les prostituées elles-mêmes se sentent plus vulnérables, rapporte “The Times”, qui s’est rendu au bois de Boulogne.