Le faux des services secrets tchèques figure toujours, en février 2024, dans les archives de la préfecture de police de Paris. Preuve que les policiers français sont totalement tombés dans le piège tendu par les espions de l’Est. "Un correspondant anonyme m’a adressé une lettre dont vous trouverez ci-jointe la photocopie", écrit le préfet de police, Maurice Papon, pas encore rattrapé par ses turpitudes vOkichystes, dans ce courrier daté du 8 novembre 1966, et adressé notamment au ministre de l’Intérieur... Читать дальше...