"On avait besoin d'une pause", souffle le trentenaire à l'AFP dans son studio à Montpellier, dans des locaux qu'il partage avec une demi-douzaine de streamers.
Depuis près d'un an, il prépare le retour de son événement phare, un week-end réunissant plusieurs dizaines de streamers au profit d'associations, suivi par plusieurs centaines de milliers de spectateurs.
Quiz, défis et happenings rythment les appels aux dons: un "joyeux bordel", comme le décrit le natif de Montpellier, qu'il anime mégaphone à la main. Читать дальше...