Le président sud-coréen, plus que jamais acculé, mise sur les complexités procédurales pour rester en fonctions
Yoon Suk Yeol, accusé de trahison et d’insurrection depuis sa déclaration de loi martiale, aurait envisagé de faire assassiner plusieurs personnalités et d’en rendre la Corée du Nord responsable. Un nouveau vote sur sa destitution est prévu le 14 décembre.