L’Embrunais Olivier Asselin, sapeurs-pompiers et maître-chien, s’est envolé le 8 août pour le Liban avec d’autre bénévoles de l’association Ulis, pour aider les secours sur place. De retour ce vendredi après une semaine passée à Beyrouth, il témoigne de la gravité de la situation sur place. De cette mission, cet habitué des catastrophes naturelles retient surtout la résilience de la population. « D’habitude, les gens restent hagards pendant une dizaine de jours. Là, on a vu une population très posée, déjà au travail, bien organisée », raconte-t-il.