N1 Élite : une réelle opportunité à saisir à domicile pour Cournon-d'Auvergne face à Pau-Nousty
Cournon-d'Auvergne va tenter d'enchaîner, ce samedi (18 h 45), face à Pau-Nousty. Jouer à domicile reste une opportunité qu'il faut saisir.
Le calendrier propose une seconde réception de suite à Cournon-d’Auvergne, ce samedi (18 h 45) face à Pau-Nousty. Une opportunité à saisir pour les Auvergnats au gymnase Raymond-Boisset. Évoluer à nouveau à domicile doit en effet permettre aux coéquipiers de Yassine Idrissi d’enchaîner.
Le Handball Club Cournon-d'Auvergne (HCCA) peut ainsi signer une bonne opération comptable, avant que le championnat de Nationale 1 Élite respecte une pause d’une semaine.
Le groupe de Cournon-d’Auvergne : Idrissi, Ribeiro?; Adli, Aranda, Avril, Canoine, Doudinski, Dupont-Marion, Gerin, Jean-Louis, Lagier-Pitre, Luiset, Peigue, Quintin, Salignat.
« Jouer à la maison est un avantage, répond Marjan Kolev, parce qu’on peut travailler sur la continuité, bénéficier du public. Pour une équipe qui continue à se chercher, cela peut nous aider à gagner en stabilité. On reste sur une victoire, mais on n’a pas montré grand-chose. On a seulement ajusté l’agressivité, un peu amélioré le jeu collectif, ainsi que l’envie et le plaisir ».
Une base de départUne bonne base oui, mais seulement un point de départ pour les Auvergnats. D’autres étapes apparaissent dans l’esprit du technicien sur le chemin qui mène à davantage de performance. La créativité, la continuité, la maîtrise du score et du rythme de jeu, la gestion des temps faibles, améliorer le jeu sur grand espace et la liste n’est pas exhaustive.
On jugera donc sur pièce les progrès face à une équipe de Pau-Nousty qui reste sur une grosse prestation face à Lanester (38-30). Mais après avoir connu une forte pression ces dernières semaines, il ne faudrait pas que les Cournonnais tombent dans l’excès inverse.
« C’est plus facile après un résultat positif, relève l’entraîneur, mais c’est à double tranchant si on reste dans le passé et qu’on ne continue pas à travailler. C’est bien parce qu’on peut se dire les choses, il y a un meilleur esprit et plus d’écoute, mais on a seulement gagné trois points ».
Jean-François Nunez