La Fête du Cantal ouvrier et paysan (Cop) investit le Sismographe, à Aurillac, avec quatre concerts gratuits
Une journée « festive, culturelle, fraternelle… mais aussi politique bien entendu », résume Aurélie Demoulin, secrétaire départementale du PCF. « Ces instants sont riches pour nous, communistes, et sont indispensables à la vie de notre parti. »
Qui se cache derrière Assaut sismique, l'association chargée de faire vibrer la nouvelle salle de concert d'Aurillac ?
« Notre si belle fête est un lieu unique de partage et d’ouverture dans le Cantal, ajoute-t-elle. Nous invitons chaque année les associations et syndicats qui portent et partagent nos valeurs. » Parmi les sujets d’actualité locale qui ne manqueront pas d’être abordés, au meeting politique ou ailleurs, on peut citer l’avenir du collège de La Jordanne, le devenir de la maison d’accueil spécialisée de Cueilhes ou encore le ferroviaire, avec le train de nuit Aurillac-Paris ou le fret cantalien, au point mort ou presque.
« C’est notre Fête de l’Humanité locale »Des invités d’ici (comme le collectif Cantal Palestine solidarité) ou d’ailleurs (Pierre Garnodier, secrétaire général du comité national des travailleurs et privés d’emploi de la CGT, et Alain Rouy, du secteur international du PCF) prendront part aux débats.
Totalement gratuite (ou avec participation libre), la journée se terminera en fanfare, grâce à quatre concerts de quatre groupes aux univers musicaux différents. « C’est notre Fête de l’Humanité locale, conclut Aurélie Demoulin. Petite par la taille, mais grande par le cœur… »
Samedi 25 mai.Débats. 15 h 30 : « Travailleurs privés d’emploi... mais pas de voix ! » avec Pierre Garnodier. 17 heures : « La guerre, quelle connerie ! » avec Alain Rouy.Meeting politique. 19 heures.Concerts. 18 h 20, Nautilws. 20 heures, Michèle Denilyn. 20 h 45, GK Noland. 21 h 30, Punk Soul Brothers. et aussi.Toute la journée, démonstrations de Vincent Giordanengo, sculpteur sur pierre ; dédicaces de Roger Grimal avec Un si gentil Papy.
Romain Blanc
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