Laurent Gnaedig estimait ce mercredi 3 juillet sur BFM Alsace que Jean-Marie Le Pen avait fait un "mauvais choix de mots" en qualifiant les chambres à gaz de "point de détail de l’histoire de la deuxième guerre mondiale", tout en n'y voyant aucun antisémitisme. Il présente ses excuses et assure ne pas "remettre en cause l'horreur de la Shoah".