Des témoignages positifs

Avant que ne commence le dernier Conseil municipal avant les congés, trois assistantes de vie partagée et animatrices à la résidence Jeanne-Saulnier ont dressé un premier bilan sur le fonctionnement de cet établissement ouvert en mars. ngés,

En préambule du dernier conseil municipal, Julie Percebois, Valérie Artacho et Mélina Gonzalez, trois assistantes de vie partagée et animatrices à la résidence Jeanne-Saulnier, avaient été conviées à présenter le bilan de leurs actions menées depuis mars dernier, date de la mise service de la résidence.

Premier bilan pour la résidence Jeanne-Saulnier. Julie Percebois, animatrice, a tout d’abord rappelé que l’établissement comprenant 20 logements comptait à ce jour 13 résidents dont la moyenne d’âge est de 78 ans. Les deux plus âgées ont respectivement 92 et 93 ans.

Elle a évoqué les difficultés rencontrées au tout début comme le choc du déménagement, aussi convenait-il d’instaurer au plus vite un climat de confiance et nouer des relations entre les résidents. Elle devait ensuite mettre en exergue les activités mises en place, et, entre autres, les sorties, les jeux de société, les rencontres intergénérationnelles, un récital, les parties de belote, etc.

Au total, pour ces animatrices, ce bilan est positif et très encourageant.

Une douzaine de dossiers ont été ensuite examinés lors du conseil municipal, présidé par Roger Litaudon, parmi lesquels :

Versement du RSA. Le conseil a notamment abordé le point consacré à une expérimentation qui vise à conditionner le versement du RSA à l’exécution en contrepartie de 15 heures de travail hebdomadaire. Depuis le 1 er  janvier dernier, le bassin de Vichy en est territoire pilote. Aussi, la commune de Varennes a-t-elle décidé d’en adopter le principe.

Ecole. L’école George-Sand projette d’organiser un voyage à Paris, destiné à donner aux écoliers de CP, CE1, CE2, CM1 et CM2 (116 au total, encadrés par 20 adultes), l’occasion d’assister à quelques épreuves des jeux paralympiques. Le coût du voyage s’élève à 3.149 €. Pour son financement, l’école a d’ores et déjà bénéficié de deux subventions et demande à la commune de lui en octroyer une de 500 €.

Le conseil, suivant en cela les recommandations du maire, a décidé de déroger à la règle qui fixe ce genre d’aide à 375 €, pour lui donner satisfaction allouant la somme sollicitée.