À 2 750 m d’altitude au fond de la vallée des Glaciers, dans un décor très minéral, à peine plus de quatre jours ont été suffisants à neuf cordistes de la société Haute Voltige pour refaire plus de 350 m² de boiseries du refuge Robert Blanc. Un chantier à la fois original et complexe par son altitude et son isolement, dans un refuge à la capacité d’accueil réduite mais resté ouvert durant les travaux.