La Cour de cassation doit se prononcer ce mardi 15 octobre sur la demande de réhabilitation présentée par le fils de celui qui a été condamné à mort en 1957 pour le meurtre d’un policier. En juin, l’avocat général s’y est opposé au nom du « principe de laïcité » de la justice, alors que la rédemption de Jacques Fesch s’est largement appuyée sur sa foi catholique.