« Je présente mes excuses à ce pauvre professeur qui n’aurait jamais dû mourir dans ces conditions-là », a déclaré mercredi 6 novembre à la cour d’assises Brahim Chnina, le père de la collégienne dont le mensonge au sujet du cours sur les caricatures a déclenché l’engrenage qui a mené à l’assassinat du professeur.